Vincent Peillon : "Le travail que j'ai d'abord à faire au sein du Parti socialiste, c'est de rassembler"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Vincent Peillon : "Le travail que j'ai d'abord à faire au sein du Parti socialiste, c'est de rassembler"
©Reuters

Primaire de la gauche

Après avoir dévoilé les grandes lignes de son programme, l'ancien ministre de l'Éducation était l'invité de "L'Entretien politique", mardi soir sur France 2.

À quelques semaines du premier tour de la primaire de la gauche, Vincent Peillon était sur le plateau de France 2 mardi soir, face à Léa Salamé, David Pujadas et François Langlet. 

Le candidat à la primaire a finalement été invité à s'exprimer dans "L'Entretien politique", après avoir dénoncé en décembre le "traitement de faveur" dont bénéficie selon lui Manuel Valls, qui sera l'invité de "L'Émission politique" jeudi 5 janvier. 

"J'ai toujours porté des projets pour la gauche (…) Le travail que j'ai d'abord à faire au sein du parti socialiste, c'est de rassembler (…) Je veux montrer que l'on peut avoir une gestion rigoureuse qui accompagne une politique de gauche", a tout d'abord affirmé Vincent Peillon. 

"L'incapacité qui a été la nôtre à accueillir les réfugiés est un crime historique. L'Europe n'a pas été à la hauteur et elle a foulé aux pieds ses valeurs, avec des pays qui dressent des barbelés pour empêcher des réfugiés victimes de la guerre de venir. (...) Il faut prendre notre part et accueillir des réfugiés. Il faut reprendre la discussion collective au sein de l'Europe à ce sujet", a poursuivi l'ancien ministre de l'Éducation. 

Interrogé sur son action ministérielle, sous la présidence de François Hollande, Vincent Peillon a ensuite concédé : "La réforme des rythmes scolaires est une réforme qui aurait pu être améliorée. (...) Je pense qu'une réforme doit se poursuivre dans le temps et être ajustée. C'est d'avoir donné le pouvoir [de décider] aux gens qui a permis de donner des choses merveilleuses dans certains endroits et dans d'autres, il faut bien le reconnaître, des choses moins bien".

>>>> À lire aussi : Un an après la réforme Peillon, le désastreux bilan des rythmes scolaires

Vu sur France 2

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !