Un ferry de retour sur la ligne Calais-Douvre<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Un ferry de retour sur la ligne Calais-Douvre
©

Page tournée

Selon France Info, LD/DFDS, le successeur de SeaFrance, n’a pas réembauché autant de salariés que prévu.

SeaFrance c’est bel et bien fini : ce vendredi, un ferry exploité par l’alliance LD Lines/DFDS  effectuera sa première liaison, avec un bateau, le Norman Spirit, à pavillon français. D’ici six mois, deux autres navires pourraient naviguer sur la ligne. Mais la nouvelle société ne veut pas encore les acheter, car elle serait contrainte de reprendre tous les salariés correspondants.

La situation des 819 salariés de l’entreprise liquidée est d’ailleurs assez variable. Ils devraient percevoir des indemnités entre 35 000 et 60 000 euros. La SNCF, maison mère de SeaFrance, avait promis d’en reclasser le maximum, et a fait 760 offres. Mais pour le moment, seuls quinze anciens Seafrance ont été reclassés en interne. Car tous ceux qui ont postulé l’ont fait sur les mêmes emplois, dans le Nord-Pas-de-Calais. Il y aura donc très probablement des réponses négatives.

Et les autres ? Selon France Info, alors que DFDS avait annoncé la reprise d’environ 300 salariés, il n’y en aurait eu que 35 embauchés pour l’instant. Le président de Louis Dreyfus, Gildas Maire, assure qu’il y a déjà eu "120 embauches. Parmi elles, 115 sont des anciens salariés de Seafrance." Ce n’est pas l’avis de l'administrateur judiciaire de Seafrance, Maître Stéphane Gorrias: "aujourd'hui, Louis Dreyfus est venu avec un bateau qui est déjà armé et embauche le personnel sédentaire nécessaire, donc il y a bien 35 salariés Seafrance qui ont été embauchés à ce jour." Et pas plus,assure-t-il.  

Lu sur France-Info.com

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !