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Réunions « non-mixtes » organisées par l’UNEF : Audrey Pulvar s'explique dans une tribune publiée dans les colonnes du Monde.
Réunions « non-mixtes » organisées par l’UNEF : Audrey Pulvar s'explique dans une tribune publiée dans les colonnes du Monde.
©CHARLY TRIBALLEAU / AFP

Tribune publiée dans Le Monde

Critiquée après ses propos sur les réunions « non-mixtes » de l’UNEF, lors d’un entretien accordé sur BFMTV, Audrey Pulvar vient de publier une tribune dans les colonnes du Monde. Elle évoque une déformation de ses propos.

Audrey Pulvar a suscité de vives réactions au sein de la classe politique et sur les réseaux sociaux le week-end dernier suite à son entretien accordé à BFMTV et ses déclarations sur les réunions « non-mixtes » organisées par l’UNEF. Dans une tribune publiée dans Le Monde ce mardi, la candidate aux élections régionales en Ile-de-France dénonce une polémique créée par « les voix opportunistes et destructrices de la droite et de l’extrême droite » :

« Jamais je n’ai dit vouloir réduire au silence une partie de la population, pour quelque motif que ce soit, et encore moins pour sa couleur de peau ».

Elle regrette que ses propos aient été déformés :

« Par un spectaculaire retournement, là où je refusais le principe de réunions totalement fermées (…), la droite et l’extrême droite, complaisamment relayées, ont fait croire et répété à l’envi, que je voulais empêcher la parole ».

Dans cette tribune du Monde, Audrey Pulvar a tenu à préciser sa position :

« Je peux concevoir, entendre, la nécessité pour des personnes discriminées, en raison de leur sexe, de leur couleur de peau, de leur orientation ou leur identité sexuelle, de se retrouver « entre elles » pour échanger. (…) J’ai utilisé le verbe « se taire », parce que c’est généralement ce que l’on fait, quand on veut réellement écouter l’autre, avant ensuite de prendre la parole… (…) D’aucuns y ont vu une forme de sommation au silence. A tort. A celles et ceux que ma formulation a pu heurter, en leur donnant la sensation que je voulais d'emblée les exclure, je veux dire ici que tels n'étaient ni mon propos, ni mon intention ».

Audrey Pulvar pointe du doigt « les polémistes de réseaux » et « les dévoreurs de lumière de studios jamais rassasiés d’être vus ».

Pour retrouver l’intégralité de la tribune d’Audrey Pulvar : cliquez ICI

Le Figaro - Le Monde

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