Piqûres dans des boites de nuit : deux étudiantes grenobloises témoignent<!-- --> | Atlantico.fr
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©SIPHIWE SIBEKO / POOL / AFP

Faits divers

Selon elles des dizaines de cas auraient été signalés

 Jeudi 14 avril, alors qu'elle sort d'une discothèque pour prendre l'air, une étudiante grenobloise s'effondre brusquement raconte TF1 qui a diffusé deux témoignages: "J'étais incapable de parler, de bouger, de voir, mais j'entendais ce qui se passait autour de moi. Ça a duré, je pense, dix minutes au maximum. J'ai bu un verre d'alcool en arrivant et je me suis dit tout de suite : 'Ce n'est pas l'alcool'", raconte-t-elle.

A l'hôpital l'urgentiste découvre une tache rouge sur sa jambe. "Elle était très sûre d'elle ; elle m'a tout de suite dit : 'C'est la piqûre d'une seringue", explique la jeune fille.

Depuis elle doit prendre un traitement préventif contre le sida, car elle pourrait avoir été contaminée par la piqûre.

Une autre victime, a été piquée, elle aussi, dans la même boîte de nuit, le même soir, à trois heures d'intervalle. Elle cite des médecins : "Ils m'ont dit qu'une soixantaine de personnes, dans toutes les boîtes de nuit de Grenoble confondues, le jeudi soir, ont été susceptibles de s'être fait piquer ou ont eu des symptômes de drogue",

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