Paris 2020 : Benjamin Griveaux accusé de manipulation par ses concurrents LREM<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Paris 2020 : Benjamin Griveaux accusé de manipulation par ses concurrents LREM
©Thomas SAMSON / AFP

Ça grogne

Le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre se voit reprocher d’avoir verrouillé sa candidature à la mairie de Paris.

Alors que Benjamin Griveaux doit officialiser sa candidature à la mairie de Paris d'ici quelques jours, ses camarades de LREM grognent, rapporte Le Parisien ce 14 mars. Ils lui reprochent en effet son manque de transparence dans la course à la mairie de Paris. "Qu’il y ait une volonté d’accélération, voire de verrouillage, ça paraît évident", glisse un candidat LREM dans les colonnes du quotidien. Certains Marcheurs fustigent également un sondage secret, financé par LREM, où le Secrétaire d’État auprès du Premier ministre a été le seul testé. Pourtant, Mounir Mahjoubi, Cédric Villani, Hugues Renson, Julien Bargeton, Anne Lebreton sont également candidats et songeraient même à organiser une primaire ouverte.

Benjamin Griveaux lance "un appel au calme"

Le climat reste tendu notamment à cause des proches de Benjamin Griveaux "qui répètent désormais en boucle que Macron a adoubé leur champion", écrit Le Parisien. "Le coup du Macron a tranché, Griveaux le fait depuis un an. Il dit qu’il a des SMS du président, mais il ne les montre à personne", ironise à ce sujet un proche d'un autre candidat. Et d'ajouter : "Il a même fait appeler récemment tous les cabinets ministériels. Brune Poirson l’a cru, donc elle lui a donné son soutien. Gabriel Attal et Marlène Schiappa aussi, mais, eux, c’est parce qu’ils veulent le porte-parolat".

Des accusations balayées par le principal intéressé. "Je vois bien la stratégie qui consiste à me mettre dans la posture du candidat officiel. Que ceux qui sont fébriles pensent que c’est verrouillé, ça se comprend. Mais ce n’est pas le cas de l’immense majorité des marcheurs parisiens", indique au Parisien Benjamin Griveaux avant de "lancer un appel au calme".

Le Parisien

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !