Otages au Mali : François Hollande est déterminé "à obtenir leur libération"<!-- --> | Atlantico.fr
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François Hollande a reçu vendredi les familles des Français enlevés au Mali
François Hollande a reçu vendredi les familles des Français enlevés au Mali
©Reuters

Fermeté

Le président de la République a reçu vendredi à l'Elysée les familles des Français enlevés au Mali et leur a réaffirmé "sa détermination à obtenir leur libération".

La situation des otages français au Mali est floue. Difficile en effet d'obtenir des informations sur leur situation, leur santé... Pour autant l'Etat ne les abandonne pas. C'est en substance le message qu'a voulu faire passer François Hollande ce vendredi. Le président de la République recevaitles familles des Français enlevés au Mali. Il leur a réaffirmé "sa détermination à obtenir leur libération", selon un communiqué de la présidence. Le chef de l'Etat a "exprimé à la famille de Philippe Verdon sa volonté de tout faire pour obtenir des informations fiables et crédibles sur sa situation", a ajouté  l'Elysée.

Un homme se présentant comme un porte-parole d'Aqmi avait annoncé mi-mars l'exécution de Philippe Verdon. Le 28 mars, le président Hollande avait évoqué lors de son intervention télévisée "des éléments" conduisant "à penser qu'il pourrait être mort". Dans la nuit du 24 novembre 2011, Philippe Verdon et Serge Lazarevic avaient été enlevés dans leur hôtel à Hombori (nord-est du Mali). Ils étaient en voyage d'affaires pour un projet de cimenterie, selon leurs proches, qui ont démenti tout lien avec des mercenaires ou des services secrets.

Le président Hollande a en outre rappelé que les autorités françaises poursuivaient leurs efforts "avec la même ténacité pour (les) autres otages au Nigéria". "Tout est mis en œuvre pour qu'ils puissent retrouver leur famille et leurs proches", a souligné l'Elysée. La famille Moulin-Fournier, qui compte quatre enfants âgés de 5 à 12 ans, leurs parents et le frère de leur père, a été enlevée le 19 février dans le nord du Cameroun, sur une route longeant la frontière avec le Nigeria. "Renouvelant à toutes les familles l'expression de sa solidarité", François Hollande a indiqué que "le gouvernement continuerait à les informer et à leur apporter tout l'accompagnement et le soutien nécessaires".

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