Loi Travail : les frondeurs appellent Hollande à choisir "l'apaisement" <!-- --> | Atlantico.fr
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"Il n'y a pas d'autres solutions, Il n'y a pas de sortie de crise sans reprise du dialogue", explique le chef de file des frondeurs, Christian Paul.
"Il n'y a pas d'autres solutions, Il n'y a pas de sortie de crise sans reprise du dialogue", explique le chef de file des frondeurs, Christian Paul.
©francetvinfo.fr

Cri d'alarme

"Nous vous demandons, monsieur le président de la République, d'agir sans attendre pour que le dialogue s’engage avec tous, et pour la sortie de crise que nous croyons encore possible", écrivent les 56 députés.

Les députés PS frondeurs ont adressé une lettre au chef de l'Etat vendredi 27 mai pour tenter d'obtenir un "dialogue de sortie de crise". "Il n'y a pas d'autres solutions, Il n'y a pas de sortie de crise sans reprise du dialogue. Je ne crois pas un instant au scénario du pourrissement", explique au Figaro le chef de file des frondeurs, Christian Paul. 

"Nous vous demandons, monsieur le président de la République, d'agir sans attendre pour que le dialogue s’engage avec tous, et pour la sortie de crise que nous croyons encore possible", écrivent ces 56 députés, dont les anciens ministres Benoît Hamon, Aurélie Filippetti et Cécile Duflot, dans cette "adresse au président de la République".

"D'un point de vue démocratique d'abord. En tenant compte de l’opposition majoritaire que suscite ce texte en France, à l’Assemblée nationale comme chez une majorité de citoyens et de syndicats (...) En cessant de vouloir imposer des dispositions dangereuses et régressives pour les travailleurs, et en renonçant à l’usage de l’article 49-3", ajoutent ces parlementaires qui avaient presque tous signé le projet de motion de censure de gauche contre le gouvernement après le recours au 49-3 annoncé par Manuel Valls le 10 mai à l'Assemblée. 

>>>> À lire aussi : Les frondeurs hérauts d'une majorité brimée par les institutions ? Ils n'ont jamais représenté plus d'un million des 45 millions d'électeurs français

Lu sur le Figaro

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