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Loi de moralisation : "Je pourrais la voter" estime NKM
©Reuters

Les réactions de la matinée

Climat, affaire Ferrand et moralisation politique étaient les trois sujets de cette matinée.

Nathalie Kosciusko-Morizet : "Je trouve que [le texte] est intéressant", a réagi la candidate LR à propos de la loi sur la moralisation politique. "Je trouve qu'il est utile, je trouve qu'il y a beaucoup de bonnes choses (...) par exemple l'idée de demander des justificatifs aux députés sur leurs frais". "Je pourrais le voter".

Jean-Christophe Cambadélis : Richard Ferrand "devrait lui-même quitter sa responsabilité car il obscurcit le débat public" estime le patron du PS sur Europe 1. "On ne parle que de ça. Et lui ne peut pas exercer sa fonction car on lui parle que de ça".

François Baroin : Le leader des Républicains a réagi, ce matin sur Radio Classique, au retrait des Etats-Unis de l'Accord de Paris. "C'est une décision qui est irresponsable, lamentable, qui montre que cette administration et ce président est d'un égoïsme forcené (...), la planète ne lui appartient pas, n'appartient pas aux puits de pétrole américains qui votent républicain dans le Texas".

Yannick Jadot : "La décision de Trump est criminelle pour le climat, à l'Europe de prendre le leadership du grand chantier de la transition énergétique", s'est emporté l'ex-candidat EELV sur Cnews. "Si Macron est sincère en disant que le climat est plus important que les affaires, alors il ne doit pas ratifier le CETA et stopper le TAFTA".

Nicolas Bay : Nicolas Dupont-Aignan "a son propre mouvement, nous respectons nos alliés. Ils ont des candidats au premier tour, comme à la présidentielle et le rassemblement des patriotes s'opérera au second tour naturellement".  

Laurent Fabius : Le président du Conseil constitutionnel s'est dit favorable à ce que les anciens présidents de la République n'y siègent plus. "La présence des anciens présidents avait été décidée à un moment où les présidents anciens n'avaient pas de statut et où le Conseil constitutionnel n'avait pas un très grand rôle. Aujourd'hui c'est devenu ce qu'on appelle ailleurs une cour suprême" explique-t-il sur France 2.

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