Les élections régionales n'ont rien résolu pour la gauche. Au contraire, elles ont empiré les choses<!-- --> | Atlantico.fr
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©LOIC VENANCE / AFP

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A gauche, Il n'y a il n’y a ni vainqueur, ni vaincu

Au sein même de la gauche et des écologistes, les équilibres n’ont pas été bouleversés, par les élections régionales souligne Le Monde. Il n'y a il n’y a ni vainqueur, ni vaincu.

Comme souvent à gauche, il n’a pas fallu beaucoup de temps pour retomber dans les règlements de comptes. Alors que, depuis plusieurs mois, tous ses responsables entonnent le chant de l’unité, dès dimanche soir, les socialistes ont ouvert le feu, hypothéquant de plus en plus l’éventualité d’une stratégie d’union pour la présidentielle remarque Le Monde.

Persuadée que le duel annoncé entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen s’éloigne, puisque La République en marche et le Rassemblement national ont subi des échecs dimanche soir, chaque formation veut jouer sa propre partition, et tenter sa chance analyse Le Monde.

Il est clair que le PS veut profiter de l’effet plateau que connaît EELV – qui n’a pas conquis de région ou de département – pour pousser la candidature d’Anne Hidalgo. La maire de Paris a d’ailleurs promis qu’elle serait, avec « une équipe de France des maires et des élus locaux qui portent les valeurs de la République » à la « hauteur de cette attente qui s’exprime partout dans le pays ». Presque une déclaration officielle de candidature, alors que, depuis plusieurs mois, aucun sondage ne note de dynamique en sa faveur dans les intentions de vote estime Le Monde.

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