La proposition du rétablissement de l'ISF a été rejetée à l'Assemblée nationale<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
La proposition du rétablissement de l'ISF a été rejetée à l'Assemblée nationale
©Zakaria ABDELKAFI / AFP

Colère des Gilets jaunes

La proposition de loi des députés communistes sur le rétablissement de l'ISF a été rejetée ce jeudi à l'Assemblée, malgré l'ensemble des voix de la gauche.

La revendication des Gilets jaunes était au cœur d'un vote à l'Assemblée nationale ce jeudi 7 mars. Une proposition de loi des députés communistes prévoyait le rétablissement de l'impôt sur la fortune (ISF) et l'instauration d'une plus grande progressivité de l'impôt sur le revenu avec des tranches supplémentaires. 

Selon des précisions de Franceinfo et de Ouest-France, Jean-Paul Dufrègne, le rapporteur du texte a regretté que la majorité "prive" l'hémicycle "d'un débat de fond". Il estime que cette proposition était "une première étape vers une meilleure justice fiscale", malgré les "insuffisances de l'ISF".  

Véronique Louwagie (LR) a dénoncé un texte "dangereusement démagogique" et "contre-productif", qui visait à ressusciter "un impôt moribond" qui "a touché davantage les classes moyennes supérieures que les grandes fortunes" et "fait fuir les capitaux hors de France".

Les Gilets jaunes s'apprêtent à se mobiliser une nouvelle fois ce samedi. 

Le chef de l'Etat multiplie les rencontres avec les maires et les citoyens dans le cadre du Grand débat national. 

Le président de la République Emmanuel Macron et le gouvernement vont tenter d'apporter des réponses et d'appliquer des mesures concrètes afin de répondre au malaise et aux difficultés rencontrées par les citoyens mobilisés au sein du mouvement des Gilets jaunes. 

Ouest-France

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !