La nomination à la cour d'appel de Bastia de la conseillère justice de Macron fait grincer des dents<!-- --> | Atlantico.fr
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Palais de justice de Paris
Palais de justice de Paris
©LUDOVIC MARIN / AFP

Promotion

A l’ancienneté et au temps passé dans son grade, la magistrate n’était pas la mieux placée

Hélène Davo, la conseillère justice du président de la République et ancienne directrice adjointe de cabinet de Nicole Belloubet a été nommée première présidente de la cour d’appel de Bastia.

"Une petite cour qui, certes, réunit seulement deux tribunaux, mais à fort enjeu politique dans le contexte de négociation sur l’autonomie de la Corse. Dans les rangs de la magistrature ça rue dans les brancards. Car à l’ancienneté et au temps passé dans son grade, la magistrate n’était pas la mieux placée." écrit Le Figaro.

"Au sein des syndicats de magistrats, on grince des dents, dénonçant «une pure nomination politique». Chantal Arens, coprésidente du Conseil Supérieur de la Magistrature, n’aurait pas dit autre chose pendant le délibéré." ajoute Le Figaro.

"Une sourde mais vive bronca agite les juridictions du pays depuis que le Conseil supérieur de la magistrature (CSM) a décidé, le 1er juin, de proposer Hélène Davo à ce poste. Dix autres magistrats, tous classés « hors hiérarchie » – le grade le plus élevé du corps judiciaire –, avaient candidaté (...)  Mme Davo, qui n'a jamais dirigé aucune cour ni même aucun tribunal, était classée onzième sur onze, dans l'ancienneté de son grade. C'est pourtant sa candidature que le CSM a retenue." note Le Point.

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