Commission
La Ciivise « va continuer » malgré le départ de ses dirigeants, selon les précisions d’Aurore Bergé
La Ciivise est confrontée à une grave crise après la démission de son nouveau président, Sébastien Boueilh, et la « mise en retrait total » de sa nouvelle vice-présidente, Caroline Rey-Salmon.
La ministre chargée de l'Egalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, s’est confiée sur l’avenir de la Ciivise, ce dimanche 11 février, au micro de Radio J :
« Il n'y a pas d'arrêt de la Ciivise. »
La Commission indépendante sur l'inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise) « va continuer » malgré la démission de ses dirigeants, selon les précisions d’Aurore Bergé.
Aurore Bergé a tenu à saluer le « rôle déterminant », le « travail remarquable » et « l'engagement sincère » du juge Edouard Durand, juge des enfants médiatique écarté par le gouvernement de la nouvelle mouture de la Ciivise.
Le départ de son nouveau président, Sébastien Boueilh, vient aussi de fragiliser l’institution. Il estime être la cible de « calomnies ».
Un autre départ majeur est intervenu avec la mise en retrait de la vice-présidente de la Civvise, Caroline Rey-Salmon, après le dépôt d'une plainte pour agression sexuelle.
Le ministère de la Santé avait affirmé vouloir réunir « dans les prochaines semaines les acteurs du secteur pour étudier les suites à donner à la commission ».
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