Guerre Israël-Hamas : pas de trêve avant vendredi, fait savoir un responsable israélien<!-- --> | Atlantico.fr
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Des photos des otages israéliens, à Tel Aviv, AHMAD GHARABLI / AFP
Des photos des otages israéliens, à Tel Aviv, AHMAD GHARABLI / AFP
©AHMAD GHARABLI / AFP

Les négociations continuent

Mercredi, le gouvernement israélien validait un accord visant à obtenir la libération de 50 otages actuellement détenus par le Hamas. Une trêve de quatre jours, supposée débuter ce jeudi, avait alors été négociée. Elle a finalement été repoussée.

La guerre “va continuer” a annoncé Benjamin Netanyahou, ce mercredi 22 novembre 2023, dans la soirée. Et ce malgré l’accord sur les otages qu’évoquait alors Atlantico. Cela ne signifie pas que le cessez-le-feu prévu pour ce jeudi 23 novembre 2023 est annulé, cependant : comme l’explique Ouest-France sur son site, il a été reporté.

L’entrée en vigueur de l’accord de trêve, initialement prévue aujourd’hui à 10 heures, n’interviendra finalement pas avant ce vendredi 24 novembre. Il en va de même pour la libération des otages à laquelle avait consenti le Hamas, a d’ailleurs précisé Tzachi Hanegbi, le chef israëlien du Conseil national de la sécurité.

“Les négociations pour la libération de nos otages se poursuivent sans cesse”, a-t-il ainsi fait savoir dans un communiqué, avant de préciser que les otages ne seraient pas relâchés “avant vendredi”. C’est un responsable israélien qui a confirmé qu’il n’y aurait “pas de pause” dans les combats ce jeudi, informe Le Figaro

De son côté, Joe Biden s’entretenait mercredi avec les dirigeants du Qatar, de l’Egypte ainsi que d’Israël dans l’espoir d’en arriver à un accord concernant la trêve à Gaza et la libération des otages, a aussi annoncé la Maison Blanche.

Pour l’heure, la guerre se poursuit… Et le fils d’un député du Hezbollah a d’ailleurs été tué lors d’une frappe israélienne conduite sur une maison du village de Beit Yahoun, au Liban. L’information provient d’une source anonyme, “proche de la famille”, citée par l’AFP. Il s’agit du fils de Mohammad Raad, un membre important du parlement libanais, mort le mercredi 22 novembre.

Ouest-France

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