Guerre en Ukraine : l'Union européenne dénonce un « crime de guerre » russe à Dnipro après le bombardement ayant fait au moins 36 morts<!-- --> | Atlantico.fr
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Des sauveteurs mobilisés pour retrouver des victimes sur le site d'un immeuble résidentiel détruit après une frappe de missile, à Dnipro, le 16 janvier 2023.
Des sauveteurs mobilisés pour retrouver des victimes sur le site d'un immeuble résidentiel détruit après une frappe de missile, à Dnipro, le 16 janvier 2023.
©Vitalii Matokha / AFP

Bombardements

75 blessés ont aussi été recensés suite à une frappe sur un immeuble résidentiel. 39 personnes ont déjà été sauvées. Les opérations de secours se poursuivent.

Le bombardement russe d'un immeuble à Dnipro, en Ukraine, a fait au moins 36 morts, dont deux enfants, et des dizaines de blessés, a annoncé ce lundi 16 janvier le gouverneur régional Valentyn Reznichenko.

« 39 personnes ont été sauvées, 75 ont été blessées », a indiqué ce responsable sur les réseaux sociaux.

Mais le « sort de 35 autres habitants de l'immeuble est inconnu ».

Les opérations de sauvetage se poursuivent.

Le Kremlin a démenti être responsable de la frappe, rejetant la faute sur l’Ukraine.

Selon la présidence suédoise de l’Union européenne, « les attaques intentionnelles contre des civils sont des crimes de guerre et ceux qui en sont responsables doivent être poursuivis aussi longtemps qu'il le faudra ».

Le secrétaire général de l'OTAN, Jens Stoltenberg, a indiqué que l'Ukraine allait recevoir encore plus d'armement lourd « dans un futur proche ».

La France, l'Allemagne et les Etats-Unis ont récemment promis d'envoyer des blindés d'infanterie ou des chars de reconnaissance.

Lors d’un entretien téléphonique avec Recep Tayyip Erdogan, Vladimir Poutine a critiqué les « parrains occidentaux » de l'Ukraine qui « augmentent leurs livraisons d'armes et de matériel militaire » à Kiev.

France Info

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