Griveaux : "Si les syndicats ne signent pas un accord majoritaire, il n'y a pas de rupture conventionnelle.<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Griveaux : "Si les syndicats ne signent pas un accord majoritaire, il n'y a pas de rupture conventionnelle.
©AFP

Les réactions de la matinée

Et aussi : Christian Estrosi, Laurence Rossignol, Sébastien Chenu...

Benjamin Griveaux (RTL) : "Ce que l'on peut retenir du cas Pimkie, contrairement à ce qui a été dénoncé, c'est que la rupture conventionnelle collective n'est pas un plan social déguisé" explique le porte-parole du gouvernement. "Si les syndicats ne signent pas un accord majoritaire, il n'y a pas de rupture conventionnelle."

Christian Estrosi (Sud Radio) : "Je propose depuis un certain temps déjà qu’il y ait un délit spécifique pour les agressions de policiers, pompiers et militaires. Il y a aujourd’hui des peines aggravantes pour ces circonstances, mais c’est tout. Rien d’autre ! Aujourd’hui, toucher un policier c’est sacré. Toucher un uniforme, c’est toucher à la France, à la nation. Et en même temps, il faut revenir aux peines planchers supprimées en 2014 par le gouvernement socialiste et François Hollande."

Laurence Rossignol (France Inter) : "Qu'est-ce-que Catherine Deneuve est allée faire dans cette galère" a réagi l'ancienne ministre à propos d'une tribune sur le 'droit d'importuner' des femmes. "Cette tribune est une gifle contre toutes les femmes qui subissent la prédation sexuelle. Elle rend service aux prédateurs."

Sébastien Chenu (BFMTV) : "Si la baisse de la vitesse était la réponse à la mortalité sur la route, on signerait dès demain ! Mais sous couvert de bons sentiments, le gouvernement fait les poches aux Français qui ont une voiture" explique le porte-parole du Front national. "Nous allons demander aux Français de refuser la limitation à 80 km/h à travers une pétition."

Elisabeth Borne (France 2) : "On ne va pas augmenter le nombre de radars, mais s'assurer qu'ils sont au bon endroit" explique la ministre des Transports. "Les éventuels surplus de recettes seront affectés à l'accompagnement des personnes blessées."

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !