Gérard Larcher estime que s'il n'y a pas de campagne, le vainqueur aura un problème de légitimité<!-- --> | Atlantico.fr
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Julien Denormandie
Julien Denormandie
©Capture d'écran France Inter

Présidentielle 2022

Mais face à la guerre il ne peut pas y avoir d’autre réaction que l’unité nationale et européenne

"Dans un tel contexte, il ne peut pas y avoir d’autre réaction que l’unité nationale et européenne. Mais cette situation bouscule la présidentielle" déclare Gérard Larcher dans une interview au Figaro à laquelle le ministre de l'Agriculture, Julien Denomandie a répondu.

Le président du Sénat a ajouté : "S’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera. Notre pays fracturé, endetté et confronté à de multiples problèmes a besoin de ce débat."

Le ministre de l'Agriculture Julien Denormandie  a critiqué ce matin, sur France Inter, les «propos irresponsables» du président du Sénat, arguant que ce dernier, «garant de notre démocratie», fait «courir une petite musique qui serait un procès en illégitimité dans le cas où le président de la République actuel serait réélu, au motif que la campagne n'aurait pas été suffisamment faite.»

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