Gaza : le Hamas annonce le début de la trêve pour la journée de jeudi, à 10 heures<!-- --> | Atlantico.fr
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Le gouvernement israélien a donné son feu vert à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de 150 prisonniers palestiniens.
Le gouvernement israélien a donné son feu vert à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de 150 prisonniers palestiniens.
©MAHMUD HAMS AFP

Négociations

Le gouvernement israélien a donné son feu vert mercredi à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de prisonniers palestiniens et d’une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza.

Le Hamas a affirmé que la trêve avec Israël entrera en vigueur le jeudi 23 novembre à 10 heures. Abou Marzouk, haut responsable du Hamas, a fait cette annonce sur Al-Jazeera.

Dans le cadre de cet accord, l'armée israélienne ne survolera plus le sud du territoire et interrompra ses vols de 10 à 16 heures au nord.

Les otages seront transférés au terminal de Rafah, à la frontière égyptienne, où la Croix-Rouge les prendra en charge.

Le gouvernement israélien a donné son feu vert dans la nuit à un accord visant à obtenir la libération de 50 otages aux mains du Hamas en échange de 150 prisonniers palestiniens et d'une trêve de quatre jours dans la bande de Gaza.

Le ministre israélien de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, qui ne figure pas dans le cabinet de guerre, a estimé que l'accord de libération des otages ouvre un « dangereux précédent », une trêve qui va permettre au Hamas de se réorganiser, ce qui « pourrait entraîner d'autres événements ». « Le Hamas souhaitait cette trêve plus que tout », selon lui, pour se « débarrasser » des femmes et des enfants lors de la première phase, et pour obtenir du carburant « et même une interdiction des vols (de surveillance des drones). Et ils ont obtenu tout cela ».

Emmanuel Macron va recevoir les ministres des Affaires étrangères de plusieurs pays arabes et musulmans pour évoquer avec eux « la situation au Proche-Orient », a annoncé la présidence française. Le président français doit rencontrer dans la journée les chefs de la diplomatie de l'Arabie saoudite, de l'Egypte, de la Jordanie, des territoires palestiniens, de l'Indonésie, du Nigeria, de la Turquie, et le secrétaire général de la Ligue arabe, Ahmed Aboul Gheit.

Le Parisien

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