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DSK accuse ses opposants politiques d'avoir exploité l'affaire du Sofitel
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Théorie du complot

L'ancien directeur du FMI estime que ses opposants liés à l'UMP ont tout fait pour l'empêcher de participer à l'élection présidentielle.

Dominique Strauss-Kahn accuse des ennemis politiques proches de Nicolas Sarkozy et de l'UMP d'avoir ruiné ses chances de participer à l'élection présidentielle en exploitant le scandale du Sofitel de New York.

Dans un entretien avec le journaliste Edward Jay Epstein , l'ancien directeur du FMI estime que son arrestation a été orchestrée par ses opposants politiques. Il ne nie pas en revanche sa relation sexuelle avec Nafissatou Diallo.

DSK affirme avoir été mis sous surveillance par les services secrets français avant son arrestation. Il accuse des proches du président Nicolas Sarkozy d'avoir ensuite intercepté des appels téléphoniques et s'être assurés que Nafissatou Diallo aille bien porter plainte entraînant le tourbillon médiatique et judiciaire que l'on connait.

"Peut-être que j'étais politiquement naïf, mais je ne pensais pas qu'ils pourraient aller si loin… Je pensais qu'ils ne trouveraient rien qui puisse m'arrêter", a déclaré DSK au journaliste Edward Jay Epstein qui sort ce lundi un livre sur l'affaire et dont les bonnes feuilles sont publiées sur The Guardian (Three Days in May, Trois jours en mai).

Les allégations de Dominique Strauss-Kahn sont basées sur des enquêtes menées par un détective privé.

L'ancien directeur du FMI est encore sous le coup d'une procédure civile intentée par Nafissatou Diallo pour agression sexuelle. Le juge Douglas Mc Keon de la Cour suprême du Bronx annoncera ce mardi s'il classe ou non la plainte de Nafissatou Diallo.

Lu sur The Guardian

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