Dissolution, référendum, remaniement : «Il faut qu'Emmanuel Macron active l'un de ses trois leviers», déclare Aurélien Pradié<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Aurélien Pradié était interrogé sur Sud Radio sur les négociations en cours au sein de la commission mixte paritaire.
Aurélien Pradié était interrogé sur Sud Radio sur les négociations en cours au sein de la commission mixte paritaire.
©Geoffroy VAN DER HASSELT / AFP

Les LR ne céderont pas

Aurélien Pradié était interrogé sur Sud Radio sur les négociations en cours au sein de la commission mixte paritaire.

«Nous savons par avance que le texte qui sortira de cette CMP ne changera pas tout ce qui doit être changé, a déclaré le député LR du Lot Aurélien Pradié au micro de Sud Radio. Donc oui, il faut débloquer la situation. Il y a trois outils qui existent dans la Constitution : la dissolution, le référendum, et renverser le gouvernement. Il faut qu'Emmanuel Macron active l'un de ses trois leviers.»

«Je ne demande pas le retrait du texte, je demande qu'il aille au bout du processus législatif, a-t-il poursuivi. Ça suffit ! On ne va pas passer trois jours à négocier dans des couloirs. Si le gouvernement ne veut pas lâcher, qu'il le dise et que nous allions au vote.»

Interrogé sur la décision de Bruno Retailleau de ne pas participer à la commission mixte paritaire qui doit reprendre ce mardi matin à 10h30, Aurélien Pradié a fait part de son désaccord : «Il faut évidemment participer à la CMP.»

Sur la question des APL, point d’achoppement des négociations entre la majorité et LR depuis hier, le député LR du Lot se veut intransigeant : «Non, on ne bougera pas, c'est absolument fondamental.» LR souhaite conditionner l'accès des étrangers aux APL à une présence de cinq ans sur le territoire national. «Que ce soit trois ans ou cinq ans, nous pouvons en discuter», a tout de même concédé Aurélien Pradié.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !