Bernard Cazeneuve tacle Emmanuel Macron sur ses "discours sans projet" <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Bernard Cazeneuve tacle Emmanuel Macron sur ses "discours sans projet"
©Europe 1

Attaque

En déplacement à Jarnac, sur les terres de François Mitterrand (décédé il y 21 ans), le Premier ministre en a profité pour épingler Emmanuel Macron.

En déplacement à Jarnac, sur les terres de François Mitterrand (décédé il y 21 ans), le Premier ministre en a profité pour épingler Emmanuel Macron. 

Le Premier ministre a d’abord rappelé que, pour François Mitterrand "le clivage droite/gauche conservait toute sa force et toute sa pertinence et, ô combien, il avait raison". Puis, faisant une discrète allusion à la candidature à la présidentielle de l’ancien ministre de l’Economie, il a rappelé que François Mitterrand admettait en son temps "que les partis de gauche puissent évoluer", "mais pas au point de théoriser le "ni droite, ni gauche" qu'il considérait comme un ailleurs improbable. À moins qu'il ne fût la manifestation d'un opportunisme cynique dans des circonstances particulières ou d'une confondante immaturité". "C'est une belle valeur que la fidélité... comme la loyauté d'ailleurs", a-t-il souligné au passage, une nouvelle allusion à la fuite d’Emmanuel Macron de Bercy.

Faire baisser Macron dans les sondages

François Mitterrand "savait mieux que personne qu'il ne suffit pas, en politique, de promettre, ni de dire. Encore faut-il tenir sa parole, car la politique ne pouvait se réduire à ses yeux à un exercice de séduction pure, fait de couvertures de magazine et de discours sans projet ", a précisé Bernard Cazeneuve.

Alors que le leader du mouvement " En Marche ! " figure parmi les nouvelles stars de la gauche, selon Paris Match, François Hollande aurait donné la consigne à tous ses ministres de le " faire baisser dans les sondages ".

>>> À lire aussi : Gérard Longuet : “Emmanuel Macron, c’est la prolongation, avec un visage jeune, du compromis qui fige et qui nous a conduit là où nous sommes : un pays de déficit et d’endettement.

Lus sur Paris Match

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !