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Attentat de Nice : la justice a ordonné à la mairie de supprimer 24 heures de bandes de vidéosurveillance
©Reuters

Troublant

Sollicité par Le Figaro, le parquet de Paris a confirmé l'information, expliquant que "cela a été fait dans ce cas précis pour éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images".

Selon une information publiée ce jeudi soir par Le Figaro, la justice a envoyé une réquisition en urgence mercredi 20 juillet au centre de supervision urbain de Nice mercredi 20 juillet pour demander l'effacement "complet de 24 heures d'images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l'attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet".

"C'est la première fois que l'on nous demande de détruire des preuves. Le centre de vidéosurveillance et la ville de Nice pourraient être poursuivis pour cela et d'ailleurs les agents en charge du dispositif n'ont pas compétence pour se livrer à de telles opérations", commente une source proche du dossier citée par Le Figaro. 

Sollicité par le quotidien, le parquet de Paris a confirmé l'information en expliquant que "cela a été fait dans ce cas précis pour éviter la diffusion non contrôlée et non maîtrisée de ces images".

>>>> À lire aussi : Nice, l'effroyable raté : comment les services de renseignement français sont passés à côté des avertissements de l'Etat islamique

Lu sur Le Figaro

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