Arabie saoudite : l'Etat islamique revendique l'attentat au cimetière non-musulman de Jeddah<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Terrorisme
Arabie saoudite Jeddah attaque attentat état islamique
Arabie saoudite Jeddah attaque attentat état islamique
©AFP

Organisation terroriste

Un employé consulaire grec et un policier saoudien ont été légèrement blessés dans cette attaque survenue à Jeddah ce mercredi 11 novembre lors d’une cérémonie officielle. L'Etat islamique vient de revendiquer l'attaque, via Telegram.

Le groupe Etat islamique a revendiqué ce jeudi 12 novembre l'attentat à l'explosif qui a fait plusieurs blessés la veille au cimetière non musulman de la ville de Jeddah, en Arabie saoudite, lors d'une cérémonie commémorant l'anniversaire de l'armistice du 11 novembre 1918, en présence de diplomates occidentaux et dont un représentant français. Le message de l’Etat islamique a été publié sur la chaîne de propagande de l’organisation terroriste sur Telegram :

"En soutien au messager de Dieu (...), un détachement de soldats du califat a réussi à poser un engin explosif au cimetière (...) dans la ville de Jeddah hier" où "plusieurs consuls" européens étaient réunis.

Lors de cette attaque, un employé consulaire grec et un policier saoudien ont été légèrement blessés.

Dans un communiqué conjoint, les consulats représentés à la cérémonie (France, Grèce, Italie, Grande-Bretagne et Etats-Unis) ont "condamné avec force la lâche attaque contre des gens innocents".

Le 29 octobre dernier, un Saoudien avait été arrêté après avoir blessé avec un couteau un vigile du consulat français à Jeddah, en pleine vague de colère au sein du monde musulman après la publication de caricatures du prophète Mahomet par Charlie Hebdo.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !