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Affaire Ferrand : "L'ouverture d'une enquête préliminaire ne change strictement rien" assure Philippe
©JOEL SAGET

Droit dans ses bottes

Le Premier ministre a donné une longue interview à RTL sur les sujets d'actualité : Accord de Paris, Notre-Dame-des-Landes, La fiscalité…

Le retrait américain de l'Accord de Paris : "C'est une décision calamiteuse (…)"En conscience, le président des États-Unis indique au monde qu'il entend essayer de régler les problèmes tout seul".

Sur l'affaire Ferrand : "L'ouverture d'une enquête préliminaire ne change strictement rien à la position que j'ai moi-même formulée publiquement: aussi longtemps qu'il n'y a pas de mise en examen, il n'y a aucune raison de demander à M. Ferrand de quitter le gouvernement (…) Un ministre qui serait mis en examen démissionnerait immédiatement, c'est la position claire que j'ai exprimée et je ne vois aucune raison d'en changer".

La loi de moralisation politique : "Elle sera présentée en Conseil des ministres le 14 juin. Vous avez des mesures d'une très grande force qui correspondent à la tonalité d'Emmanuel Macron lors de la campagne. Il n'y aura plus d'emplois familiaux à l'Assemblée et au Sénat. Il ne sera plus possible dans l'année qui précédé l'exercice d'un mandat, de créer une société de conseil. Ces moyens sont incroyablement ambitieux".

Les impôts : "J'aimerai pouvoir dire que l'on va diminuer les impôts pour tout le monde, mais ce ne serait pas raisonnable et très facile à dire (...) Nous allons prendre des mesures pour relancer l'activité. Nous allons corriger cette taxe d'habitation mais je ne peux pas expliquer à chaque catégorie de Français que ça va être formidable, ça n'existe pas."

Notre-Dame-des-Landes : "Ce sujet est au cœur d'une tension absolument considérable. Le président de la République a voulu qu'on mette tout sur la table pendant six mois, pour prendre une décision éclairée et assumée (...) On ne peut pas laisser ce dossier dans l'état dans lequel nous l'avons trouvé."

Lu sur RTL

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