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L'ancien candidat du NPA à l'élection présidentielle, Philippe Poutou, et l'ex-porte-parole du NPA, Olivier Besancenot, participent à un meeting de campagne à Saint-Denis.
L'ancien candidat du NPA à l'élection présidentielle, Philippe Poutou, et l'ex-porte-parole du NPA, Olivier Besancenot, participent à un meeting de campagne à Saint-Denis.
©PIERRE VERDY / AFP)

Scission en vue

Quand on aime, on ne compte pas.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Ecoutez le pathétique lamento de Philippe Poutou. Le patron du NPA (pour combien de temps encore ?) a pris sa plume pour annoncer une nouvelle qui fait frémir. Et c’est le cœur déchiré que nous nous voyons contraint de vous en faire part. Le Nouveau Parti Anticapitaliste pèse quelques décimales aux élections. Il faudra désormais, à suivre Poutou, les diviser par deux.

Il constate en effet que son minuscule groupuscule va se diviser. Une partie du NPA veut une politique révolutionnaire indépendante. L’autre souhaite trotter avec les autres forces de gauche. C’est irréconciliable.

Et Poutou de lancer un cri de détresse : « Que va devenir le siège du parti ? Qui aura droit à l’appellation NPA ? ». Des combats fratricides s’annoncent entre les « TROT » et les « SKYSTES ». Des purges féroces sont à prévoir. Il y aura des morts. Et le bon vieux Léon reconnaîtra les siens ! 

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