San Francisco se meurt…<!-- --> | Atlantico.fr
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Ray Donovan, chef des opérations de la Drug Enforcement Administration (DEA), se tient devant le mur "The Faces of Fentanyl", qui affiche des photos d'Américains décédés d'une surdose de fentanyl
Ray Donovan, chef des opérations de la Drug Enforcement Administration (DEA), se tient devant le mur "The Faces of Fentanyl", qui affiche des photos d'Américains décédés d'une surdose de fentanyl
©AGNES BUN / AFP

C’était une si belle ville

Elle est victime de deux drogues.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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La première porte le nom de fentanyl. Elle fait des ravages mortels. C’est bien pire que le crack. Et elle prospère à San Francisco.

Dans les rues, la police et les services de santé ramassent des cadavres. Des hommes et des femmes titubent, seringues à la main. Le fentanyl est tellement présent qu’on ne peut rien faire contre.

San Francisco en crève. Et succombe sous l’effet d’une autre drogue : le wokisme. C’est de là que cette tendance imbécile et progressiste est partie, relayée par les bobos de la Silicon Valley.

Ces deux drogues font bon ménage ensemble. L’une tue, l’autre abrutit. Il est plus que probable que les wokistes prennent du fentanyl. Mais nous ne souhaitons pas leur mort. Nous voulons juste qu’ils se taisent.

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