Les leçons ratées d’Olivier Véran au Danemark<!-- --> | Atlantico.fr
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Dans une vidéo publiée vendredi 5 mai, Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, a expliqué les raisons de son déplacement au Danemark.
Dans une vidéo publiée vendredi 5 mai, Olivier Véran, porte-parole du gouvernement, a expliqué les raisons de son déplacement au Danemark.
©LUDOVIC MARIN / AFP

Il n’a rien appris

Quel cancre !

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Le porte-parole du gouvernement était en visite dans la patrie de Hamlet.Il a laissé éclater sa joie en indiquant que les Sociaux-Démocrates étaient au pouvoir à Copenhague.

La capitale danoise est, comme nous le savons, la Mecque de tous ceux qui luttent contre l’immigration. Pas sûr qu’Olivier Véran ait bien compris cela.

Tout à son bonheur, il s’est félicité que les Sociaux-Démocrates danois aient ramené l’extrême droite de 22 % à 2 %. Alléluia !

Ce qu’il a oublié de dire, c’est que les Sociaux-Démocrates danois appliquent, concernant l’immigration, le même programme que l’extrême droite. Sur ce point, ils sont féroces et intraitables. 

C’est un peu comme si Macron appliquait les enseignements de Zemmour. Au pays de Hamlet, on dit “to be or not to be”.Pour Olivier Véran, la formule qui s’impose, c’est “not to be”.

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