La bataille du quartier de la Monnaie<!-- --> | Atlantico.fr
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Ils ont tenté de pénétrer à quatre-vingt dans cette cité d’où était partie la plupart des auteurs de la tuerie de Crépol.
Ils ont tenté de pénétrer à quatre-vingt dans cette cité d’où était partie la plupart des auteurs de la tuerie de Crépol.
©OLIVIER CHASSIGNOLE / AFP

Les prémices d’une guerre civile ?

Cela devait arriver.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Ils ont tenté de pénétrer à quatre-vingt dans cette cité d’où était partie la plupart des auteurs de la tuerie de Crépol. Ils ont crié : « Justice pour Thomas » et « Islam dehors ! ».

Tous étaient cagoulés et certains avaient des barres de fer. Tout sauf des tendres !

L’un des manifestants a été roué de coups et mis à nu par les jeunes du quartier. Jean-Luc Mélenchon a salué « la magnifique auto-défense des habitants du quartier de la Monnaie ». Quand on aime la racaille...

Sandrine Rousseau a fait plus fort en accusant l’extrême droite de « vouloir des ratonnades ». Des ratonnades ? Et quand on va à Crépol avec des couteaux pour « tuer des blancs », on appelle ça comment ? Il s’agit bien sûr d’un événement isolé mais il est à craindre qu’il y en ait d’autres vu la violence qui gangrène notre pays. Laissons pour finir la parole à Guillaume Bigot. Il dit : « Il y a en France douze millions d’hommes capables de porter les armes ». Si guerre il y a, « les séparatistes seront écrasés ». Heureusement, on n’en est pas là. Pas encore ?

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