La grande peur de Davos !
Il paraît que Trump, c’est mauvais pour les affaires
Mais alors comment a-t-il fait pour devenir milliardaire ?
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
À Davos, des milliards se comptent par milliers. Tous sont là. Les patrons du CAC 40, les hommes les plus riches du monde, et une ribambelle de chefs d’État.
Au programme, l’avenir de l’économie mondiale qu’ils tiennent entre leurs mains. Tout se passe habituellement entre gens de bonne compagnie. Mais cette fois-ci, un détail est venu perturber cette euphorie.
Ce détail a un nom : Donald Trump. L’ancien président des États-Unis fait peur. Un frisson sur les participants au forum de Davos. « On ne veut pas d’un fou », a même dit l’un des participants.
Or Donald Trump n’est pas fou. En économie, il a un programme d’une rude simplicité. « Des usines américaines avec des ouvriers américains ». Une tradition de son slogan : « America first ».
En réalité, Trump n’est pas fou du tout. Et même il a enfoncé économiquement son successeur. Il n’y a qu’une question qui vaille : est-ce que l’Amérique se portait mieux économiquement du temps de Trump ou de celui de Biden ?
Tous les indices montrent que le bilan économique du successeur de Trump est calamiteux. Et c’est ça qui va lui coûter la Maison-Blanche.
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