
Gangs de violeurs pakistanais : le rapport qui provoque (enfin) la panique de l’establishment britannique ?
L’audit Casey a fait l’effet d’un électrochoc : oui, des réseaux de prédateurs sexuels, composés majoritairement de musulmans pakistanais, ont violé, torturé et parfois tué des milliers de jeunes filles britanniques blanches. Et oui, pendant des années, les autorités ont fermé les yeux, préférant éviter l’accusation de racisme plutôt que de protéger les victimes. Des rapports ont été enterrés, des alertes ignorées, des journalistes censurés. Pendant ce temps, les coupables agissaient en toute impunité. Le revirement soudain de Keir Starmer, longtemps opposé à une enquête, ne convainc qu’à moitié. Car ce scandale n’est pas seulement celui des criminels, mais aussi celui d’un État qui a failli à sa mission la plus élémentaire : défendre les plus vulnérables.