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Sociétéil y a 5 heures
Bashir, un proche d’un adolescent victime du « bacha bazi », lors d’un entretien avec l’AFP dans la province du Helmand. Le « bacha bazi », pratique d’esclavage sexuel de jeunes garçons, reste largement répandue en Afghanistan. (Image d'illustration)
Bashir, un proche d’un adolescent victime du « bacha bazi », lors d’un entretien avec l’AFP dans la province du Helmand. Le « bacha bazi », pratique d’esclavage sexuel de jeunes garçons, reste largement répandue en Afghanistan. (Image d'illustration) © AFP or licensors
Immigration, sécurité et tabous européens

Comment expliquer la surreprésentation statistique des Afghans et Pakistanais dans les crimes sexuels et pédophiles ?

Des données venues d’Allemagne, de Suède, de Suisse ou encore d’Italie dressent le même constat : les populations afghanes et pakistanaises apparaissent massivement surreprésentées dans les affaires de crimes sexuels. Derrière ces chiffres, un choc culturel qui interroge, avec des pratiques comme le « bacha bazi » en arrière-plan, et une question sensible : comment les sociétés européennes peuvent-elles réagir, notamment en matière de droit d’asile et d’expulsions ?

Comment expliquer la surreprésentation statistique des Afghans et Pakistanais dans les crimes sexuels et pédophiles ?