« C’est notre culture judéo-chrétienne qui engendre les féminicides »<!-- --> | Atlantico.fr
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Trois femmes tiennent des pancartes à Nice, le 9 janvier 2022, alors qu'elles assistent à une marche blanche pour Lisa, une femme de 45 ans assassinée par son ex-compagnon le 1er janvier 2022.
Trois femmes tiennent des pancartes à Nice, le 9 janvier 2022, alors qu'elles assistent à une marche blanche pour Lisa, une femme de 45 ans assassinée par son ex-compagnon le 1er janvier 2022.
© Valery HACHE / AFP

Bien sûr

A « Osez le féminisme », on ose tout.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

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Violaine de Filippis est la porte-parole d’ « Osez le féminisme ». Elle se préoccupe évidemment des meurtres et des assassinats de femmes. Elle a trouvé un coupable : « notre culture judéo-chrétienne ». Elle doit avoir à sa disposition la liste des chrétiens qui égorgent les femmes à la sortie de la messe et qui crient « Jésus l’a voulu ! ».

Comme dans « judéo-chrétienne », il y a « judéo », parlons des Juifs. Ils sont certainement nombreux à assassiner les femmes après qu’un rabbin à la synagogue leur ait ordonné de le faire. Et n’oublions pas que Moïse et Abraham étaient des hommes, donc des assassins en puissance. 

« Osez le féminisme » n’a rien trouvé à redire au fait qu’on tue des femmes en Afghanistan et en Iran. Il est vrai que ces deux pays ne sont pas de culture judéo-chrétienne.

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