X : le groupe Marc Dorcel se lance dans la réalité virtuelle

L'expérience est "à la fois existante et un brin dérangeante", selon le journaliste du Parisien qui a pu s'y essayer. Imaginez : vous enfilez un casque, et vous retrouvez assaillis de sublimes actrices qui n'en veulent qu'à votre corps musclé...

Les casques de réalité virtuelle (Occulus Rift, Samsung Gear, Homido...) commencent à faire leur apparition dans le monde du jeu vidéo. Ils arrivent maintenant dans le domaine du porno, par le biais du groupe français Marc Dorcel. Une société à qui l'on doit le premier service de vidéos classées X à la demande, en 2002, ou les premiers films en 3D, en 2010.

Pour ce premier test du pionner français, deux séquences de trois et onze minutes sont disponibles : la version soft et gratuite, où les actrices font un strip-tease coquin, et la version X (10 euros), où il y a plus d'action. Lors du tournage, un système de 14 caméras a été installé sur la tête de l'acteur masculin, ce qui permet de faire croire au spectateur qu'il incarne lui-même l'acteur. 

"L'immersion est immédiate, à condition d'être un homme résolument hétérosexuel", explique le journaliste. Nul doute qu'à mesure que la réalité virtuelle se démocratisera, le choix s'élargira.

Le cinéma porno se met à la réalité virtuellepar leparisien