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Le ministre de la Justice a reçu la semaine dernière plusieurs parlementaires afin d’inscrire au plus vite à l’ordre du jour une proposition de loi visant à mettre en place des frais d’incarcération pour les détenus.

Gérald Darmanin était l'invité du Face à Face sur RMC et BFM ce jeudi 12 juin. Le ministre de la Justice a annoncé qu'il allait adresser aux groupes politiques et aux institutions concernées des « propositions fortes » pour une « révolution pénale ».

Alors que les premières comparutions des auteurs présumés de violences et de dégradations ont eu lieu ce lundi, le ministre de la Justice a exprimé sa fermeté. Il appelle à des « condamnations minimum » et souhaite également « supprimer les aménagements de peine » pour les personnes reconnues coupables.

À droite, les ambitions présidentielles précoces donnent lieu à une inflation d’annonces sécuritaires aussi bruyantes que vides. Entre coups de com’ sur un « bagne amazonien », promesse irréaliste d’un monde sans cash et recyclage de vieilles idées déjà avortées, Gérald Darmanin et Bruno Retailleau semblent confondre stratégie électorale et politique pénale. Le tout, sur fond de criminalité endémique, d’armes de guerre circulant en silence, et d’une impuissance flagrante face aux zones de non-droit festives. Une rhétorique martiale pour une réalité souvent molle : l’illusion d’une fermeté qui peine à dépasser le verbe.

Afin de lutter contre le trafic de drogue, Gérald Darmanin a proposé de supprimer l’argent liquide.

Le ministre de la Justice, Gérald Darmanin, a estimé que la suppression des espèces permettrait de mettre fin aux points de deal.

Devant le Sénat, le ministre de la Justice a mis en avant le rôle des espèces, difficilement traçables, dans la difficulté à lutter contre les réseaux criminels comme la fraude du quotidien.

Dans un courrier adressé aux magistrats, Gérald Darmanin annonce vouloir étendre la procédure de "plaider-coupable" aux crimes. Objectif : désengorger les cours d’assises, accélérer les délais de jugement, et mieux répondre aux critiques sur la lenteur de la justice pénale. La victime conserverait toutefois un droit de regard sur la procédure.

Un vaste coup de filet a été lancé ce lundi matin dans l’enquête sur les attaques en série visant les prisons. Une trentaine d’individus sont dans le radar des autorités.

Une expérimentation menée par le procureur de Bayonne (Pyrénées-Atlantiques) vise à saisir et confisquer les téléphones portables utilisés par les consommateurs et vendeurs de stupéfiants pour effectuer leurs transactions via des messageries cryptées.

Malgré une nouvelle nuit de tensions autour des centres pénitentiaires et leurs agents, le ministre de la justice Gérald Darmanin a annoncé sur son compte X que "Plusieurs attaques" contre des prisons "ont été dissuadées".

Agressions, narco trafic, attaques contre des établissements pénitentiaires... La France est-elle en train de se sud-américaniser ?

Les modules préfabriqués sont « constructibles en dix-huit mois », précise le ministre de la Justice.

Le ministre de la Justice a confié qu’il était attaché à son choix d'interdire le port de signes religieux dans les compétitions sportives. Sans langue de bois, Gérald Darmanin a dénoncé la « naïveté » des ministres en désaccord avec sa position.

Le suspect de l'agression, un mineur âgé de 16 ans, a pu être interpellé par les policiers de la Bac.

Aussi à la Une de vos hebdos cette semaine : L’empire réac énerve Marianne, Le Nouvel Obs pontifie sur la crise du logement, et Challenges a beau chercher comment faire des économies, il en revient au modèle suédois, qui a ramené en 10 ans son déficit public de 69 à 49% du PIB et de dégager un excédent budgétaire tout en maintenant la croissance.

Le ministre de l’Economie et des Finances, interrogé sur la question du droit du sol, a préféré prendre ses distances avec les autres membres du gouvernement.

Invité de RMC ce vendredi matin, le Premier ministre, François Bayrou, dit vouloir un « débat public approfondi » sur le droit du sol.

Le bilan de la Macronie en matière de sécurité est terrible. Nous en évo­quons ici les pires éléments et écueils, ceux qui indignent et angoissent les Français.

Afin d’assurer la sécurité à travers l’Hexagone, plus de 90. 000 policiers et gendarmes » étaient mobilisés pour cette nuit de la Saint-Sylvestre.