Après avoir soulevé la jupe de Nolwenn, Laurent Baffie s'excuse et Ardisson tacle le CSA<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Media
Crédits Photo: Capture d'écran Instagram

Tempête dans un verre d'eau

Après avoir soulevé la jupe de Nolwenn, Laurent Baffie s'excuse et Ardisson tacle le CSA

"Le CSA s'appuie sur des signalements, je déteste ce système de dénonciation anonyme. On se croirait en 1942", a taclé l'animateur.

C'était la polémique de la semaine : le weekend dernier, dans Salut les Terriens, le chroniqueur Laurent Baffie avait remonté la jupe de Nolwenn Leroy, invitée de l'émission. "Je tiens à préciser que je laisse faire parce que c'est Laurent. C'est mon ami", avait immédiatement réagi la chanteuse. Plusieurs téléspectateurs se sont offusqués de cette séquence sur les réseaux sociaux et ont décidé de la signaler au CSA, qui s'est saisi de "l'affaire".

"Je trouve cela incroyable ! C'est Orwell ! On rêve !", a réagi Thierry Ardisson dans un communiqué. "Moi, le CSA, je ne reconnais pas cette juridiction intermédiaire ! Le truc coûte 40 millions d'euros par an à la collectivité nationale, au moment où on ampute le budget de France Télévisions de 80 millions d'euros ! Le CSA s'appuie sur des signalements, je déteste ce système de dénonciation anonyme. On se croirait en 1942", a-t-il ajouté. 

Pour Thierry Ardisson, cette séquence était "une blague entre Laurent Baffie et Nolwenn Leroy qui sont par ailleurs très très potes !.

Laurent Baffie a de son côté pris la parole vendredi dans l'émission, pour s'excuser d'avoir "fait quelque chose de pas bien" en "touchant à la jupe d'une fille". 

Thierry Ardisson a ajouté, à l'adresse des journalistes : "Au lieu de regarder la télé et d'écrire tous les mêmes conneries, qu'ils s'intéressent au monde autour d'eux".

Lu sur Ozap

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !