ONPC : Vanessa Burgraff accuse Nathalie Kosciusko-Morizet de mentir<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique

Ouh la menteuse

ONPC : Vanessa Burgraff accuse Nathalie Kosciusko-Morizet de mentir

La chroniqueuse, qui remplace Léa Salamé, a refusé de croire que NKM ne sait pas qui elle soutiendrait si elle ne pouvait se présenter à la primaire.

A l'occasion de la première émission de la saison, les téléspectateurs d'On n'est pas couché, sur France 2, ont fait la connaissance de Vanessa Burgraff, samedi soir. Après dix ans sur France 24, la journaliste a pris le fauteuil de Léa Salamé et officiera aux côtés de Yann Moix. 

Pour cette première, l'invitée politique était la candidate à la primaire de la droite Nathalie Kosciusko-Morizet. Et Vanessa Burgraff a montré qu'elle ne se laissera pas impressionner par les invités. 

Tout est parti d'une question d'un autre invité de Laurent Ruquier, le journaliste Karim Roussouli (qui présentera C Politique sur France 5 à partir du 11 septembre). Il a demandé à la candidate ce qu'elle ferait, et qui elle soutiendrait, si elle ne parvenait pas à réunir les parrainages requis pour se présenter à la primaire.

NKM a refusé de répondre, expliquant  : "C'est comme les JO, vous ne demandez pas aux athlètes 'Et si jamais vous n'êtes pas sur le podium, vous faites quoi ?". Vanessa Burggraf qui a alors répliqué : "Ça c'est pas possible ! Ça, on ne vous croit pas. On ne vous croit pas". Face aux dénégations de NKM, Vanessa Burggraf a poursuivi : "Vous n'allez pas nous faire croire que vous n'avez pas pensé qui vous allez soutenir ! Vous n'irez pas au second tour".

"Elle nous ment ! Elle nous ment", a répété Vanessa Burgraff, provoquant l'agacement de NKM.

L'ensemble de l'interview est visible ici.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !