Viande de cheval : les salariés de Spanghero reçus lundi par le gouvernement<!-- --> | Atlantico.fr
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"Cela prouve que notre mobilisation pour les 300 emplois de Spanghero a payé", a déclaré à l’AFP un délégué CFDT
"Cela prouve que notre mobilisation pour les 300 emplois de Spanghero a payé", a déclaré à l’AFP un délégué CFDT
©Reuters

Scandale

Les ministres de l'Agriculture et de la Consommation, Stéphane Le Foll et Benoît Hamon, recevront lundi en fin d'après-midi les représentants du personnel et les syndicats de l'entreprise Spanghero.

Les représentants des salariés de l'entreprise Spanghero, au cœur du scandale de la viande de cheval et à l'arrêt depuis vendredi, seront reçus lundi 18 février par les ministres de l'agriculture, de la consommation et de l'agroalimentaire. Le ministère de l'agriculture a précisé dans un communiqué que cette réunion aura pour but de "faire le point sur la situation et préparer avec [les syndicats] les conditions de redémarrage de l'entreprise".

"Cela prouve que notre mobilisation pour les 300 emplois de Spanghero a payé", a déclaré à l’AFP Claude Hill délégué CFDT. "Il ne faut pas rajouter la crise à la crise dans une zone comme le Lauragais qui a déjà des gros problèmes d’emploi", a-t-il tenu à souligner.

Le gouvernement a clairement fait de l’usine de transformation de viandes et de plats cuisinés Spanghero le principal responsable du scandale de la viande de cheval. Son agrément sanitaire a d'ailleurs été suspendu jeudi pour les trois activités de la société : stockage, transformation de la viande et plats cuisinés. Beaucoup redoutent que cette décision "condamne à mort l'entreprise".

Le préfet de l’Aude avait annoncé vendredi que les salariés de cette usine de Castelnaudary pourraient bénéficier du chômage partiel, soit 60% de leur rémunération brute, pendant la suspension de l’activité.

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