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François Hollande et la nostalgie des hamburgers
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Junk food

Dans un long portrait que lui a consacré vendredi le New York Times, le candidat socialiste affiche un goût prononcé pour les célèbres sandwichs américains, vestige d'un séjour d'études effectué aux États-Unis en 1974.

Dans le long portrait, publié vendredi, que lui consacre le New York Times, François Hollande reconnaît qu'en revenant d'un voyage d'études aux États-Unis en 1974, il aurait très bien pu "faire fortune en vendant des cheeseburgers" mais qu'il a "finalement choisi la politique". Une inclinaison confirmée par sa compagne, Valérie Trierweiler, selon laquelle, de son séjour américain, François Hollande a gardé "un goût certain pour les burgers".

En 1974, le candidat socialiste avait en effet obtenu une bourse pour aller étudier les fast-food aux États-Unis et en avait profité pour traverser le pays en voiture.

Le reste du portrait, comme le laisse d'ailleurs présager son titre -"Le centre mou de François Hollande", n'est guère à l'avantage du candidat socialiste, décrit comme "un candidat extrêmement improbable" et "qui inspire peu de passion". Selon Steve Erlanger, le correspondant du New York Times en France, François Hollande représente "une vision plus confortable de ce à quoi un homme politique français doit ressembler". Le quotidien new-yorkais estime que la raison de son succès est surtout à chercher dans la lassitude suscitée, chez les Français, par la personne de Nicolas Sarkozy.

Lu sur Le Figaro.fr

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