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Erdogan ne fera pas "marche arrière" sur l'offensive en Syrie
©REUTERS/Umit Bektas

54 morts

Le président Recep Tayyip Erdogan a assuré que l'opération actuellement en cours en Syrie se déroulait avec l'aval de Moscou.

Ce samedi, l'armée turque a lancé une vaste opération dans la région d'Afrine, dans le nord de la Syrie en multipliant les frappes aériennes et les bombardements d'artillerie contre les positions du YPG kurde. Ce lundi 22 janvier, le président Recep Tayyip Erdogan a déclaré que son pays ne fera pas "marche arrière" et que "la question d'Afrine sera réglée". Les Kurdes, eux, en appellent aux Etats-Unis et invite Washington à "prendre ses responsabilités". Dans un communiqué les Forces Démocratiques Syriennes (FDS) déclarent que "La coalition internationale, notre partenaire dans la lutte contre le terrorisme, avec qui nous avons mené ensemble des batailles honorables pour éliminer le terrorisme… sait très clairement que cette intervention turque est là pour vider de son sens la victoire finale" contre l'Etat islamique.

De son côté la communauté internationale s'inquiète de l'ouverture d'un nouveau front en Syrie.

Moscou en revanche n'a pas encore confirmé l'accord dont se targue le président Erdogan et a appelé le président Erdogan à la "retenue" mais il est difficile d'imaginer qu'une opération de cette ampleur puisse se faire sans l'aval du Kremlin.

Depuis le début de l'opération, au moins 54 combattants kurdes et rebelles syriens pro-turcs ont été tués.

Lu sur Le Figaro

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