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"Penelopegate" : selon le Canard Enchaîné, Penelope Fillon aurait touché un total de 45 000 euros d'indemnités de licenciement payées par l'Assemblée
©ERIC FEFERBERG / AFP

Feuilleton

D'après l'hebdomadaire, Penelope Fillon aurait perçu en août 2002 "16 000 euros d'indemnités, soit l'équivalent de cinq mois de salaire", puis "29 000 euros de primes" au terme de son "dernier contrat" en 2013.

Mise à jour 21h50 : François Fillon dénonce les "mensonges du Canard enchaîné".

Dans son édition du mercredi 8 janvier, le Canard Enchaîné affirme que l'épouse de l'ancien Premier ministre aurait touché "en deux fois" 45 000 euros d'indemnités de licenciement, payées par l'Assemblée nationale. 

>>>> À lire aussi : Pourquoi la droite Fillon d'avant le PenelopeGate dérange

D'après l'hebdomadaire, Penelope Fillon aurait perçu en août 2002 "16 000 euros d'indemnités, soit l'équivalent de cinq mois de salaire", alors qu'elle avait retrouvé un mois plus tôt un emploi auprès du suppléant de François Fillon, Marc Joulaud. Le Canard Enchaîné assure que Penelope Fillon a également perçu, en novembre 2013, "29 000 euros de primes" au terme de son "dernier contrat".

"La législation ne prévoit pas un tel niveau d'indemnités de licenciement pour un collaborateur parlementaire", affirme encore l'hebdomadaire. Ces indemnités portent sur la période 1998-2002, pendant laquelle Penelope Fillon a été rémunérée comme assistante parlementaire de son époux (165.686 euros net de salaires sur cette période, selon le site internet du candidat Fillon).

"Les éléments publiés ce soir dans l'édition du Canard Enchaîné datée du 8 février ne sauraient en rien constituer une information nouvelle et comportent des erreurs manifestes", a déclaré l'ancien Premier ministre dans un communiqué titré "Les mensonges du Canard enchaîné".

Plus d'informations à venir …

Lu sur Le Figaro

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