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États-Unis : Donald Trump infligera une "lourde" sanction à General Motors si le constructeur ne fabrique pas américain
©Reuters

Mise en garde

Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait assuré qu'il dénoncerait l'Alena (conclu en 1994), et imposerait des droits de douane de 35% aux produits mexicains.

Après avoir déjà ciblé sur Twitter les constructeurs Boeing et Lockheed Martin, Donald Trump a prévenu mardi 3 janvier le groupe General Motors qu'il devra s'acquitter d'une "lourde" taxe frontalière s'il continue à fabriquer certains de ses véhicules hors des États-Unis. 

Le constructeur automobile compte en effet de nombreuses usines au Mexique, et l'Accord de libre-échange nord-américain (Alena), lui permet d'y fabriquer des véhicules et de les importer aux États-Unis sans payer de taxe. 

"General Motors livre des voitures Chevy Cruze, fabriquées au Mexique, à ses concessionnaires aux Etats-Unis sans payer de taxe. Fabriquez aux Etats-Unis ou payez une lourde taxe frontalière", écrit sur Twitter le président élu, qui prendra ses fonctions le 20 janvier prochain. 

Lors de sa campagne présidentielle, Donald Trump avait assuré qu'il dénoncerait l'Alena (conclu en 1994), et imposerait des droits de douane de 35% aux produits mexicains, ce qui a largement participé à son succès électoral. 

Le groupe General Motors a partiellement contesté ces accusations, en assurant que la Chevrolet Cruze vendue aux États-Unis était produite sur le site de Lordstown dans l'Ohio, alors que le modèle coupé de la même voiture produit au Mexique était destiné en priorité à d'autres marchés.

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Lu sur Europe 1

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