Facebook : de la nudité au terrorisme, le réseau met à jour sa politique de modération<!-- --> | Atlantico.fr
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Facebook a divisé ses "standards de communauté" en quatre nouvelles catégories.
Facebook a divisé ses "standards de communauté" en quatre nouvelles catégories.
©Reuters

Adaptation

Facebook interdit désormais les contenus faisant l'apologie "d'activités terroristes, d'organisations criminelles ou qui promeuvent la haine".

Facebook instaure à partir du lundi 16 mars de nouvelles règles pour ses "standards de communauté", afin de cibler de manière plus claire ce que ses utilisateurs pourront ou non publier sur leur compte. Ces "standards de communauté" seront maintenant divisés en quatre catégories : la violence en ligne, le respect mutuel, la protection de la propriété intellectuelle, et la sécurité du compte de l'utilisateur. 

D'autres sous-catégories ont aussi été inaugurées, telles que"organisations dangereuse","attaque contre des figures publiques","activité criminelle" ou encore "violence et exploitation sexuelle".

Facebook a par exemple clarifié sa définition de "l'incitation à la haine". Désormais, sera banni du réseau social "tout contenu qui attaque directement des personnes en raison de leur race, leur ethnicité, leur origine nationale, leur religion, leur orientation sexuelle, leur sexe ou leur identité sexuelle, leur infirmité ou leur état de santé".

En revanche, le réseau social autorise désormais la publication de contenus tels que les "œuvres d’art illustrant des personnages nus et les photos de femmes qui défendent activement l’allaitement ou qui montrent les cicatrices post-mastectomie de leur poitrine".

Sur la question du terrorisme, Facebook interdit les contenus faisant l'apologie "d'activités terroristes, d'organisations criminelles ou qui promeuvent la haine" ainsi que "les images explicites quand elles sont partagées par sadisme, ou pour célébrer ou glorifier la violence".

"Nous supprimons également le contenu qui exprime un soutien aux groupes impliqués dans les comportements violents ou criminels mentionnés ci-dessus ("activités terroristes ou activités criminelles organisées). Soutenir ou encenser les chefs de ces mêmes organismes, ou cautionner leurs activités violentes, n’est pas autorisé" ajoute le réseau social.

Lu sur Le Figaro

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