Menace terroriste "élevée" : François Hollande annonce le maintien de la mobilisation de 10 000 militaires en "soutien"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Menace terroriste "élevée" : François Hollande annonce le maintien de la mobilisation de 10 000 militaires en "soutien"
©REUTERS/Stephane Mahe

La prudence est de mise

Le communiqué évoque également le nombre de 7 000 militaires employés dans la durée,"principalement pour la surveillance et la protection de sites à caractère confessionnel particulièrement menacés ".

Alors que l'Etat islamique vient de publier une vidéo dans laquelle les djihadistes menacent directement la France et les Juifs, François Hollande a décidé de "maintenir l'engagement des armées sur le territoire national à hauteur de 10 000 militaires" en "soutien" des forces du ministère de l'Intérieur, "la menace d'attaque terroriste contre notre pays demeurant élevée", a annoncé l'Elysée ce mercredi 11 mars dans un communiqué. Ce dernier, issu du Conseil de Défense, évoque également le nombre de 7 000 militaires employés dans la durée, "principalement pour la surveillance et la protection de sites à caractère confessionnel particulièrement menacés ".

"Le chef de l’Etat a demandé de prendre les mesures nécessaires pour adapter l’organisation des armées à cette évolution de leur mission", est-il également écrit dans le communiqué.

Au-delà des 7 500 postes dont François Hollande avait déjà annoncé le maintien le 21 janvier, l'actualisation de la loi de programmation militaire (LPM) doit étudier "toutes les conséquences en termes d'adaptation des effectifs du ministère de la Défense". Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian présentera cette après-midi le travail d'actualisation de la LPM.

Lu sur Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !