Russie : un rapport du Pentagone prétend que Vladimir Poutine est autiste<!-- --> | Atlantico.fr
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Poutine est-il autiste ?
Poutine est-il autiste ?
©Reuters

C'est donc ça...

Et plus précisément victime du syndrome d'Asperger, une forme autistique qui affecte les prises de décision.

L'information donne un arrière petit goût de guerre froide et de propagande. Le chef suprême de la Russie serait-il autiste ? C'est en tout cas ce qu'affirme un rapport du Pentagone, daté de 2008, révélé le 4 février par USA Today. Rédigé par L'Office of Net Assessment, un think tank interne au département de justice américain, le rapport pointe du doigt un éventuel problème de développement du petit Vladimir alors qu'il était encore dans le ventre de sa mère. Selon Brenda Connors, une experte dans l'analyse des mouvements et du comportement, citée dans le rapport, le président russe a une "anomalie neurologique."

Pour en arriver à cette conclusion, les experts américains s'appuient sur le comportement et les expressions faciales de Vladimir Poutine qui se montre quelqu'un particulièrement sur la défensive, comme le sont les personnes concernées par le syndrome d'Asperger. De la même façon, sa démarche qui penche généralement à droite ou encore sur ses difficultés s'élocutions qui surviennent parfois, valideraient l'accident in utero. Une seconde étude, datée de 2011, apporte les même conclusions.

Interrogé par The Guardian, un des chercheurs explique que le but n'a jamais été de réaliser un diagnostic, qu'il ne pourrait pas confirmer sans un scanner du cerveau. "Le but était de visionner ses vidéos et de déterminer un profil diplomatique" affirme Stephen Porges, soulignant que Poutine semble avoir "un caractère asocial" dénué d'émotions. Un profil qu'un retrouve chez les autistes d'Asperger mais aussi chez les vétérans de guerre ou chez certains survivants.

Le syndrome d'Asperger peut affecter les prises de décisions. Mais de célèbres personnes ont été suspectées comme atteintes. Ce fut par exemple le cas d'Albert Einstein.

Lu sur The Guardian

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