Retour sur investissement après MBA : de la supériorité du système éducatif français<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Retour sur investissement après MBA : de la supériorité du système éducatif français
©

Cocorico

Selon un classement établi par The Economist, HEC offre la meilleure combinaison de qualité de l'enseignement et de tarifs de scolarité abordables.

La qualité de l'enseignement supérieur, en France, est souvent pointée du doigt.  A chaque nouveau président, sa nouvelle réforme.  François Hollande n'y a pas échappé et en a même fait une de ses promesses de campagne. Pourtant à y regarder de plus près, il ne semble pas si mauvais que cela, notamment dans les grandes écoles de commerce. En effet, la France est régulièrement en tête des palmarès à ce niveau là. Preuve en est avec le classement du Financial Times pour le millésime 2013. Ainsi, parmi les 75 meilleurs établissements d'Europe la France en compte 18 dont la première école (en l'occurrence HEC Paris). 
Une bonne nouvelle n'arrivant pas seule, dans un récent palmarès, The Economist fait de même. Selon des critères basés sur le retour sur investissement après MBA et en comparant avec les principales business school du monde, le quotidien américain place HEC en tête. Concrètement selon ce classement, l'école de commerce parisienne offre la meilleure combinaison de qualité de l'enseignement et de tarifs de scolarité abordables. Un excellent rapport qualité/prix qui s'ajoute à des salaires de base plutôt élevés une fois le diplôme obtenu.
A l'inverse, toujours selon The Economsit, les cours du MBA de Wharton en Pennsylvanie coûtent  en moyenne 330 000 dollars pour deux ans (en règle générale c'est aux Etats-Unis que les études sont les plus chères). Mais le retour sur investissement y est très faible. En effet, les diplômés  ont tendance à trouver un premier emploi dont le salaire est à peine plus élevé que celui qu'ils ont quitté pour financer leurs études.
lu sur The Economist

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !