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Cette conférence, souhaitée par Emmanuel Macron, visera à « mobiliser la communauté internationale pour répondre aux besoins de protection et de secours d’urgence de la population du Liban ».

Le guide suprême iranien, Ali Khamenei, a prévenu que ses alliés, le Hezbollah libanais et le Hamas, poursuivraient le combat contre Israël. La stratégie de l'Iran a-t-elle évolué suite à la mort de Hassan Nasrallah ?

Les attaques du 7 octobre ont bouleversé la société israélienne. Plus de 1.200 personnes sont mortes en Israël lors des massacres perpétrés par les membres du Hamas.

Et le régime des mollahs ne laisse rien au hasard. La stratégie dite « West is Next » a été élaborée dès la fin des années 80 et elle comporte aussi bien des volets terroristes que des opérations d’entrisme et d’influence.

Le président de Sciences Po Paris a décidé de saisir la justice après des manifestations hostiles à Israël au sein de l’institut.

Lors de son discours à l'ONU, le message d'Emmanuel Macron n'a pas permis d'apporter des solutions aux défis qui se posent pour la diplomatie française face à la stratégie féroce de certains pays.

La profondeur et la qualité des renseignements sur lesquels Israël a pu s'appuyer a profondément évolué au cours des deux derniers mois, à commencer par l'assassinat, le 30 juillet, de Fuad Shukr, l'un des bras droits de Nasrallah.

Le chef du Hamas au Liban, Fatah Charif Abou al-Amine, a été tué dans une frappe contre sa maison dans le camp d’Al-Bass, dans le sud du Liban, a indiqué un communiqué de la milice palestinienne ce lundi.

Israël a tué vendredi le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, dans une frappe près de Beyrouth.

Jean-Noël Barrot, est attendu dans la soirée au Liban pour « échanger avec les autorités locales et apporter un soutien français, notamment humanitaire ».

Le Hezbollah a officiellement annoncé, samedi 28 septembre, la mort de son chef Hassan Nasrallah, tué dans un raid israélien sur la banlieue sud de Beyrouth le 27 septembre.

L'armée israélienne a revendiqué avoir tué Hassan Nasrallah, le leader du mouvement libanais, dans une frappe menée dans le Sud de Beyrouth vendredi.

Pour Maya Khadra, il y a une forte confusion des Occidentaux sur la situation au Liban.

Sur une initiative de la France et les États-Unis, plusieurs pays, avaient appelé à un cessez-le-feu de vingt et un jours au Liban.

Depuis le lundi 23 septembre, plus de 600 personnes ont été tuées au sud du Liban, dont 50 enfants et 94 femmes. Hier, l'armée israélienne a poursuivi ses bombardements qui auraient fait 51 morts et 220 blessés.

Tandis qu’Israël poursuit sa campagne de bombardements contre le Hezbollah, qui a fait plus de 600 morts depuis lundi, les diplomates occidentaux s’activent pour ouvrir la voie à un règlement négocié de cette crise.

La guerre à Gaza « n’a que trop duré », a lancé Emmanuel Macron, qui a également appelé « Israël à cesser l’escalade au Liban et le Hezbollah à cesser les tirs ».

Alors qu’Israël mène à nouveau une campagne de frappe jusqu’au nord de Beyrouth et dans la plaine de la Bekaa après le tir d’un missile balistique du Hezbollah jusqu’à Tel-Aviv, le porte-parole de l’armée israélienne Olivier Rafowicz a expliqué sur Franceinfo que tout était encore «envisageable» pour Israël.

Depuis qu'il a approuvé les assassinats à Beyrouth et à Téhéran, le parti Likoud du premier ministre, a pris la tête des sondages nationaux.

Ce samedi 21 septembre 2024, le Hezbollah affirmait avoir tiré des roquettes en direction de deux sites militaires en Israël.