Covid-19 : Nicolas Bedos reconnaît avoir écrit un texte "excessif et maladroit" <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Culture
TIZIANA FABI / AFP
TIZIANA FABI / AFP
©TIZIANA FABI / AFP

Mea Culpa

Nicolas Bedos a tenu à clarifier ses propos sur le coronavirus et le respect du port du masque. Sa publication sur les réseaux sociaux avait suscité de vives réactions.

Après avoir provoqué de vives réactions fin septembre, Nicolas Bedos a tenu à clarifier son propos. Il avait à l'époque critiqué les mesures sanitaires strictes comme le port du masque dans un billet d'humour, un message publié sur Instagram. Nicolas Bedos a donc décidé de revenir sur ses précédentes déclarations. Il s'est confié dans les colonnes du Point. Dans cette article - Chronique d'un bad buzz (sous le régime de la peur -, il reconnaît être certainement allé trop loin.

"Sorti de son contexte, le petit texte que j'ai lancé comme un pavé dans le marécage du web était - pour le moins - excessif et maladroit".

Nicolas Bedos précise également avoir écrit ce texte à l'époque après une succession de disparitions douloureuses : 

"C'est le texte d'un type qui vient de passer l'été à enterrer des êtres chers aussi régulièrement qu'Olivier Véran change d'avis. Un "affreux libertaire" que la guerre sanitaire engage à la distanciation au moment même où sa famille réclame du rapprochement".

Le 28 mai, Nicolas Bedos annonçait la disparition de son père Guy Bedos sur les réseaux sociaux. Quatre jours plus tôt, son parrain Jean-Loup Dabadie est mort à l'âge de 81 ans. Le 28 juillet, Nicolas Bedos a également subi la perte de sa marraine, l'avocate Gisèle Halimi. 

Dans sa chronique publiée pour Atlantico, Nicolas Bedos a tenu surtout à clarifier ses propos pour s'excuser auprès du personnel soignant, qui avait vivement réagi sur les réseaux sociaux suite à sa publication initiale et sa charge contre les mesures du gouvernement face à la pandémie de Covd-19 : 

"Je n'avais pas pris la mesure de l'insulte qu'elle semblait postillonner aux masques des soignants qui se battent pour nos gueules". 

Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !