Le prince William et Kate Middleton refusés dans un hôtel d'Amiens <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
"Nous avons dû décliner l’offre, c’est impossible à cette période, nous sommes déjà archi-complet", révèle Olivier Walti, gérant du seul hôtel 5 étoiles du département.
"Nous avons dû décliner l’offre, c’est impossible à cette période, nous sommes déjà archi-complet", révèle Olivier Walti, gérant du seul hôtel 5 étoiles du département.
©Reuters

C'est complet !

Pour justifier son refus d’annuler des réservations de clients "dont beaucoup sont des fidèles", la direction de l'établissement a invoqué des raisons déontologiques.

Selon les informations du Courrier Picard, l’hôtel cinq étoiles Le Marotte, à Amiens, a été obligé de refuser l'hospitalité au prince William et à son épouse, Kate Middleton, héritiers de la couronne britannique. Le couple doit se rendre en Picardie à l'été 2016, pour assister aux cérémonies du centenaire de la bataille de la Somme.

Si la requête a bien été formulée par le Quai d’Orsay, l’hôtel, qui propose des services dignes d’un palace, était complet. Pour justifier son refus d’annuler des réservations de clients "dont beaucoup sont des fidèles", la direction de l'établissement a invoqué des raisons déontologiques, explique France Info.

"Le Quai d’Orsay nous a contactés en janvier pour savoir si nous étions en mesure d’accueillir fin juin la famille royale à l’occasion des commémorations. Nous avons dû décliner l’offre, c’est impossible à cette période, nous sommes déjà archi-complet", révèle Olivier Walti, gérant du seul hôtel 5 étoiles du département et qui propose des services sensiblement identiques à ceux des palaces parisiens, cité par le quotidien local. 

Lu sur France info

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !