Buffet campagnard, pétanque et danse folklorique : le mariage bohème de Pierre Casiraghi et Béatrice Borromeo à Monaco<!-- --> | Atlantico.fr
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Pierre Casiraghi est le deuxième fils de Caroline de Monaco.
Pierre Casiraghi est le deuxième fils de Caroline de Monaco.
©Reuters

Le samedi à Monaco, c'est jour de mariage

Pierre Casiraghi, le deuxième fils de Caroline de Monaco, épouse civilement ce samedi l'Italienne Beatrice Borromeo dans le salon des Glaces du palais monégasque.

C'est un mariage "moderne et bohème", à l'image du couple : Pierre Casiraghi, le deuxième fils de Caroline de Monaco, et Beatrice Borromeo ont décidé de ne pas faire de chichi pour leur mariage, ce samedi à Monaco. Dans l'intimité, ils se sont dits "oui" dans le salon des Glaces du palais monégasque, entourés seulement de leurs proches parents, témoins et amis.

Cinq cents personnes ont été invitées pour prendre un verre à la santé des mariés. Albert de Monaco, chef de cérémonie, a détaillé le programme des festivités au magazine People : "Ce sera une garden-party avec de petites choses à manger avec les doigts. Il y aura des buffets, de la nourriture et des boissons, les invités auront des sièges pour pouvoir s'asseoir, mais ce sera vraiment informel". Plusieurs animations sont prévues, comme un mât de cocagne, un stand de tir à la carabine ou des pistes de danse folkloriques. "Nous jouerons à la pétanque, poursuit le prince. Ce sera une fête simple", a annoncé le souverain.

Le couple, qui vit à Monaco, se fréquente depuis sept ans. Pierre Casiraghi, 27 ans, dirige avec son frère Andrea plusieurs entreprises spécialisées dans la construction ou la gestion d'hélicoptères. Quant à son épouse, qu'il a rencontrée sur les bancs de l'université, elle est journaliste et s'est déjà fait remarquer pour des interviews musclées et des reportages qui dénoncent la mafia calabraise ou les dangers de l'amiante. Elle compte bien continuer son métier de reporter. "Je veux que mon travail ait un impact sur la société", a-t-elle confié lors d'une récente interview.

Lu dans Le Point

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