A Saint-Tropez, Brigitte Bardot refuse d'être une "pompe à fric"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
People
Brigitte Bardot ne veut pas que son image se retrouve sur de multiples objets dérivés.
Brigitte Bardot ne veut pas que son image se retrouve sur de multiples objets dérivés.
©Wikimedia Commons - domaine public

"Plus de devises que la régie Renault"

Brigitte Bardot est furieuse depuis l'ouverture, sans son autorisation, d'une boutique vendant des produits dérivés à son effigie.

Trop, c'est trop : le mari de Brigitte Bardot, représentant sa femme, a demandé à un commerçant local d'arrêter d'exploiter abusivement l'image de la star. L'homme est un artiste peintre, qui depuis quelques années vend des toiles représentant BB. Un petit commerce qui ne gênait pas la star, jusqu'à ce qu'il ouvre une boutique où l'on peut trouver un grand nombre de produits dérivés.

"On a l'habitude de voir des représentations de BB partout mais là c'est trop ! Dans la boutique, il y a des bougies, des montres, des espadrilles, des assiettes, des tas de trucs ! Bientôt, on va faire des bagnoles avec le nom BB !", proteste Bernard d'Ormale, le mari de BB.

Il a rencontré le commerçant samedi, rapporte Var Matin, et lui a demandé d'arrêter de vendre ses bibelots. "Brigitte n'est pas contente. Le seul droit qu'elle possède, c'est son droit à l'image : on ne met pas les gens comme ça devant le fait accompli. La semaine prochaine, nous t'envoyons l'huissier", lui-a-t-il dit.

L'artiste s'est d'abord défendu en expliquant que les images qui figurent sur ses objets ne sont pas des représentations de la star... mais des images tirées des portraits qu'il a peints de BB. Un argument étonnant qui n'a pas convaincu Bernard d'Ormale.

"J'ai essayé de vous joindre à plusieurs reprises sans succès. Je serais heureux de partager mes bénéfices avec la Fondation Brigitte Bardot. En faire une pompe à fric pour la cause animale", a expliqué le commerçant, sans réussir à convaincre son interlocuteur. "Nous recevons de multiples propositions pour vendre des objets à l'effigie de BB. Si nous ne répondons pas, c'est que nous ne voulons pas donner suite.Ça tombe sous le sens", a-t-il répondu.

Lu dans Var Matin

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !