Mobilisation partielle : le déchirement des familles en Russie<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Défense
Crédits Photo: Capture d'écran DR / Youtube
Les mères et les familles russes font des adieux déchirants à leurs fils qui partent au front dans le cadre de la mobilisation partielle.

Nouvelles recrues

Mobilisation partielle : le déchirement des familles en Russie

Les familles russes font des adieux déchirants à leurs fils qui parent au front suite à l’appel de Vladimir Poutine dans le cadre de la mobilisation partielle. Des Russes ont tenté de quitter le pays depuis le discours du chef du Kremlin pour échapper à la guerre.

La mobilisation partielle a officiellement débuté en Russie. Les mères et les familles russes font des adieux déchirants à leurs fils qui partent au front, selon des informations d’Euronews. Depuis l'annonce de la mobilisation, des dizaines e milliers de Russes ont été appelés.

Officiellement, 300.000 personnes doivent être mobilisées sur le terrain ukrainien, selon Novaïa Gazeta, journal russe indépendant.

Le décret de mobilisation pourrait en réalité permettre d'appeler jusqu'à un million d'hommes.

Le dirigeant ukrainien Volodymyr Zelensky a, lors d'une allocution en russe, mis en garde les futurs appelés sur le sort que leur réserve la guerre :

« Cinquante-cinq mille soldats russes sont morts dans cette guerre en six mois. Des dizaines de milliers sont blessés, mutilés. En voulez-vous davantage ? Non ? Alors protestez, combattez, fuyez, ou faites-vous prisonnier en Ukraine. Ce sont les options qui vous permettront de survivre ».

De nombreux Russes ont décidé d'échapper à cette mobilisation obligatoire en quittant le pays en avion, ou par voie terrestre. L'Allemagne s'est également dite prête à accueillir les déserteurs russes.

Euronews

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !